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Channel: BLOG BDSM - LE LIEN INVISIBLE
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BONDAGE - 96 - Suspension

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Dans un arbre ... perchée ...

 


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Il faut savoir ce que l'on peut ...

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Spéciale dédicace pour LN ...

 

Au fil des discussions, ici et la, il apparaît que bon nombre de personnes qui approchent et courtisent le domaine BDSM, l'envie de soumission et la tentation du don de soi, ne sachent pas vraiment ce qu'elles sont a même de donner. Il n'est pas question ici de l'imagination et des envies, du fantasme ou de l'idée que ces personnes ont de la relation D/s, des actes ou des pratiques qu'elles veulent ou pensent pouvoir vivre mais tout simplement d'une réflexion initiale sur eux-même et sur leurs limites périphériques. Comment (par exemple) une femme mariée, dont le mari ne connaît rien de sa quête et de son envies (ou ni adhère pas), peut elle ne pas comprendre les limitations qu'imposent son statut. Comment peut elle proposer, dans sa demande et son annonce, une offrande totale, sans intégrer ce qui l'entour. Elle ne doit et ne peut dans sa recherche faire abstractions des limitations de disponibilité, d'absence de marques, des restrictions dans les contraintes, etc ...

 

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Il en va de même pour tout une myriade d'autres éléments limitatives, que beaucoup semblent découvrir au cours des discussions et dont ils ne semblent pas avoir conscience en préambule à leur quête. Ne faut il pas prendre conscience que le BDSM que l'on "aimerait" trouver doit coller et admettre ses impossibilités? Ne faut il pas déjà poser tous les postulas de ce que l'on peut et/ou ne pourra pas, avant de chercher celui qui sera ou ne sera pas...? Se connaître soi même c'est déjà répondre a la question, prendre en compte le périmètre de la relation doit également faire partie des fondements. Cela évitera sans doute pas mal de déboire... en BDSM le moins est l'ami du bien, le plus (ou le trop) l'ami du mal. Il est assez impressionnant de lire, entendre et découvrir la foule de surestimation des postulant(e)s a la soumission. Peu ont conscience qu'il demande bien plus qu'il ne seront tenir... La nourriture fantasmagorique et la démocratisation des images BDSM fait des ravages dans les esprits.

Si petit a petit, l'oiseau fait son nid... est sans doute la devise d'une relation durable et stable, être sincère et ne pas se mentir en est un precept. L'évolution en BDSM ne peut pas exister si l'on fixe des bases de départ qui sont déjà hors de cadre de l'expension de la progression. Qu'est ce qui peut bien provoquer cet empressement et cette impatience, cette surenchère et ce manque de discernement? Étés vous donc si pressé de finir ce qui n'a pas commencer?  Il faut savoir ce que l'on peut, pour trouver celui qui vous donnera ce qui vous attendez, sinon la déception n'en sera que plus grandes, les échecs que plus nombreux et la dé motivation que plus lourde.

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HUMOUR


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SANS COMMENTAIRES

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À jeu érotique extrême, conséquences dramatiques. Une jeune femme est morte samedi à Rome et une seconde est dans un état très grave à la suite d'une séance de shibari (qui signifie en japonais "attaché lié"), une antique technique japonaise de bondage.

 

Federica, 23 ans, Paola, 24 ans, et Suter, 42 ans, venaient d'un milieu aisé et n'étaient pas des débutants dans les pratiques sadomasochistes. Ils avaient suivi un cours enseignant l'art du ligotage, les secrets des liens de chanvre et les arcanes des jouissances extrêmes. Ils n'en faisaient pas mystère et affichaient leur tendance au sadomasochisme sur les réseaux sociaux.

Samedi, ils se retrouvent dans une soirée organisée par des amateurs de bondage. Ils décident alors de passer à l'acte. Dans le coffre de sa voiture, Suter a un véritable sex-shop : sex toys, fouets, menottes et cordes. Mais c'est Federica qui conduit le groupe dans un garage d'une agence du fisc en périphérie. Le lieu est discret et au plafond courent de nombreuses canalisations. Un détail capital, car le trio a l'intention de pratiquer le "breath play" (jeu de la respiration). Suter passe une corde sur une canalisation, enroule le lien autour du cou des deux jeunes femmes puis l'utilise pour leur ligoter les mains derrière le dos. Federica et Paola sont dos à dos, mais chaque fois que l'une d'entre elles s'abaisse, la corde serre le cou de sa partenaire. Et c'est cette suffocation, à la limite de l'évanouissement, qui provoque l'extase sexuelle. Suter, lui, n'est qu'un simple spectateur.

Mais la morbide balançoire s'emballe et Paola s'évanouit. En tombant au sol, elle étrangle Federica. Suter tente de les secourir, mais il n'a pas de couteau à portée de main. Lorsqu'il réussit finalement à trancher le lien, Paola est agonisante et Federica dans le coma.

L'art du shibari, ou kinbaku, voit le jour au XVe siècle dans l'empire du Soleil levant. Les samouraïs l'utilisaient comme forme de torture ou pour attacher deux prisonniers ensemble.À partir du XIXe siècle, il devient un art puis une pratique sexuelle abondamment documentée dès les années 1950. Aujourd'hui, trois millions de sites répondent à la parole shibari sur Google. Dans toutes les grandes villes occidentales, les amateurs se retrouvent dans des établissements de nuit qui ont pignon sur rue. À Rome, où des cours de shibari sont organisés, on estime à plus de 400 les pratiquants. Mais les experts sont formels : le breath play est la plus dangereuse des techniques de bondage. Elle est responsable d'un millier d'accidents mortels par an et c'est en pratiquant le shibari que l'acteur David Carradine a perdu la vie à Bangkok en 2009.

source Le Point.fr - Publié le 12/09/2011 à 16:18 - Modifié le 13/09/2011 à 11:15

 

 

DESSIN -98-

Le mindfucking ou le détournement de l'esprit.

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Littéralement : baiser l'esprit. C'est tout un art. Ce terme est employé dans le cinéma quand la narration n'est pas linéaire sans être hors sujet. Quand le scénariste utilise des moyens étonnants pour arriver à ses fins. Comme on dit passer par la bande, c'est un peu un détournement de sujet.

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En photographie, c'est encore plus flagrant. Il y a des "mindfucking" célèbres, on ne découvre pas tout de suite de quoi il s'agit, cela oblige à faire travailler son esprit. C'est très jouissif, c'est comme une caresse du cerveau. C'est un peu cherchez l'erreur.
Par exemple sur une photo, deux filles posent en souriant alors qu'à l'arrière plan il y a un homme en train de pisser. Le sens premier de l'image est détourné. Sur une autre photo un groupe de jeunes femmes prend un bain et en regardant de plus près on aperçoit des hommes qui matent à travers les vitres embrumées. Il y a encore cette fille qui pose dans la rue, un passant tout près à la queue bien visible et bien moulée dans son pantalon. Il y en a des centaines comme ça, plus ou moins explicites.
Dans le SM c'est pareil. Certaines maîtresses appliquent les principes du "mindfucking"à leur art. L'esprit est quelque chose de bien plus sensible que le corps. Des coups de cravache, des fessées, des pinces ou des liens laisseront des traces sûrement pour quelques jours au pire, si ce n'est quelques heures.
Alors que le trouble engendré par une première séance intense avec une dominatrice laissera des traces à l'âme pour toute la vie. Il suffit que les choses soient bien menées, la dominatrice jouant sur tous vos fantasmes, même sur la frustration. La première fois que l'on est manipulé sexuellement et qu'on abandonne tout contrôle à la volonté de l'autre, là il se passe quelque chose d'irréversible.
Les blessures au corps se soignent mais jamais celles de l'âme. C'est écrit d'une façon indélébile dans l'esprit du soumis. Cet instant intense fait que la relation existe à vie entre le soumis et sa maîtresse. Il y aura toujours dans un coin de son esprit, ce moment exceptionnel. Et ce lien est extrêmement puissant. C'est comme si cela démangeait et qu'il fallait sans arrêt gratter cette petite plaie. C'est ce qui fait revenir toujours le soumis vers sa maîtresse.
Une dominatrice me racontait qu'elle aimait dominer avec un couteau. Elle immobilisait son soumis, lisait la peur dans ses yeux. Il ne bougeait pas au risque de se blesser. Bien sûr, elle ne lui voulait pas de mal, c'était juste pour pimenter un peu le jeu.
La domination cérébrale peut être poussée très loin. Le soumis exécutant toutes les volontés de la maîtresse. Il devient son sujet, son objet et dépasse toutes ses appréhensions simplement pour lui faire plaisir car il lui a abandonné son âme et son corps.

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Dans l'ordre des choses

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LE DOMINANT

De nombreux Dominants débutants croient qu'ils n'ont qu'a donner à leur soumise tous les ordres qu'ils voudront. Il n'en est rien. En réalité, il y a beaucoup à dire sur ce qu'est un vrai Dominant. La domination ne consiste pas simplement à donner des ordres aléatoires. Un bon Dominateur s'attachera à trouver le moyen de donner à sa soumise le désir de lui plaire. Un Dominateur est un protecteur, un professeur, un amant de la soumise. En tant que protecteur, il doit être plus fort que la soumise, et plus fort que les autres hommes de l'entourage de la soumise. Ceci ne signifie pas qu'il doive être plus fort physiquement ou plus grand. Nous parlons de la force de caractère et de la personnalité.

En tant que professeur, le dominateur doit être un sage, et par-dessus tout, un juste. Il ne doit pas punir arbitrairement la soumise. Toute punition doit avoir une raison. Dans le cas contraire, la confiance et la sécurité de la soumise sont brisés. Le Dominant doit être respecté par la soumise. Le respect est une qualité méritée par le Dominant s'il est juste, d'un jugement rapide et capable de justice et de récompense envers sa soumise. Le dominateur n'est pas là pour infliger souffrances et dégradations à la soumise, mais pour lui indiquer les moyens et le chemin pour lui plaire et l'aimer.

Comme amant, le dominateur est aimant, et le cas échant, dur. Il est conscient qu'il est la seule source de plaisir de la soumise. Il ne doit pas négliger ce point. Le dominateur doit être, lorsque les circonstances l'exigent, gentil, compréhensif, tendre avec la soumise. Une relation Dominant/soumise n'est pas un abus de pouvoir. Il appartient au dominateur de faire attention au bien-être de la soumise. Si la punition est requise pour arrêter une action négative de la soumise, celà est du ressort du Dominant. De la même façon, les bonnes actions de la soumise doivent également être notées par le Dominant et faire l'objet de tendresse et d'amour.

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LA SOUMISE

Le rôle de la soumise apparaît comme étant plus simple. En réalité, la soumise joue un rôle déterminant dans le développement de la relation B&D. Le rôle primaire de la soumise est d'obéir aux ordres du Dominant et de lui faire plaisir. Etre soumise ne signifie pas être un paillasson aux pieds du Dominant. La soumise est la compagne, l'étudiante, l'amante du Dominant. En tant que compagne, la soumise est traitée avec respect et dignité, est autorisée àémettre des opinions et peut partager les activités du Dominant. Sur ce point, la soumise est l'égale du Dominant. En tant qu'étudiante, la soumise doit apprendre à faire plaisir au Dominant et, quand ceci est fait, aspire àêtre récompensée par le Dominant.De la même façon, en cas de non respect d'un ordre, la soumise est en droit de s''attendre à la punition et à la démonstration du droit chemin.En tant qu'amante, la soumise fait tout son possible pour plaire au Dominant car, par principe, elle s'occupe du bien-être de son Dominant. La soumise ne fait pas celà par crainte de représailles et de souffrances, ni dans un but de rétribution, mais parce qu'elle veut faire plaisir à son Dominant. Elle ne veut pas décevoir son Dominant. La soumise tire son plaisir du plaisir qu'elle procure à son Dominant.

 source : Auroraweblog



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RÈGLES DE BONDAGE ET DE DOMINATION

Pour qu'une telle aventure puisse être viable, elle doit s'appuyer sur des règles de base. Nous comprenons parfaitement que chaque couple est différent et que chaque relation B&D est différente. Cependant, des règles de base existent, au-delà desquelles vous êtes hors-jeu de ce qui est considéré comme étant du B&D. Chaque couple aura son propre règlement. Je pense néanmoins que quelques principes sont universels.

* Aucune blessure ne doit-être infligée à la soumise. Cela ne signifie pas que les fessées, la discipline et les corrections n'existent pas. Elles doivent simplement être calculées de façon à ne pas infliger de blessures, physiques ou mentales, durables à la soumise. En B&D, la souffrance est parfois utilisée pour corriger le comportement. Elle n'est en aucun cas le point central de la relation.

* Agrément préalable des limites. Il s'agit simplement de se mettre d'accord sur ce que chacun fera ou ne fera pas. Ces limites varient d'un couple à l'autre. Cet accord préalable place simplement les frontières de la relation. Il est primordial de discuter honnêtement, librement, des limites que chacun a souhaité placer avant d'entamer une relation B&D. Ces limites ne seront pas transgressées sans, au moins, une discussion préalable. Ces frontières évoluent au fur et à mesure de l'évolution de la relation.

* La soumise devrait disposer d'un " mot-clé" lui permettant de stopper l'activité en cours. Ce mot-clé doit être comprit par les deux parties comme nécessitant l'arrêt de l'action. Cet arrêt peut être le fait de la soumise en cas de grande souffrance, ou du Dominant pour clarifier une situation risquant de dépasser les limites fixées. B&D est supposé apporter du plaisir aux deux parties. Limites et mot-clé sont les garanties que la situation reste sous contrôle des deux parties. Si le Dominant décide qu'une est nécessaire, et que cela pose un problème majeur à la soumise, le mot-clé sera utilisé pour éviter au Dominant de faire une interprétation erronée de la volonté de la soumise. Cela ne signifie pas que la nouvelle séance de fouet n'aura pas lieu. Mais que le Dominant aura l'opportunité de prendre en compte l'opinion de la soumise avant de continuer.

La communication entre le Dominant et la soumise est essentielle dans la réussite de la relation B&D. La soumise doit accepter de parler de ses sensations et le Dominant doit y être réceptif. Le Dominant doit également être attentif aux signes non verbaux que peut donner la soumise. Pour une relation satisfaisante, il est utile d'avoir des affinités sous-jacentes avec le (la) partenaire. Le Dominant essaie de mener la soumise à la perfection de ce que la soumission doit-être. La soumise doit accepter ce but. Si l'un de ces points n'existe pas, la relation B&D se dégradera très rapidement en une relation abusive, ou alors les deux partenaires se sépareront, insatisfaits.

Le B&D a pour but l'épanouissement des deux partenaires. Frontières et mot-clés permettent de s'assurer du respect de ce principe. Ils ne constituent en aucune façon un renoncement aux principes d'obéissance. Avec le temps, l'utilisation des frontières et des mots-clés peuvent s'estomper, cependant, bien des couples expérimentés continuent de les utiliser.

 

RÉCOMPENSES ET PUNITIONS

C'est là que beaucoup de relations B&D tombent en ruine. Punitions trop sévères pour des fautes mineures, ignorance des bonnes actions et oubli manifeste de fautes conduisent la rupture de la relation. Si un Dominant ne punit pas des fautes majeures, ou ignore les bonnes actions de sa soumise, les conventions acceptées dans le cadre de la relation sont rompues. C'est là que le Dominant montre son vrai visage. Il ne doit pas se contenter de contrôler la soumise, mais il doit aussi se contrôler lui-même.

Au début de la relation B&D, la tendance est forte de se mettre d'accord sur une longue liste d'actions correctes et incorrectes. Mais si le Dominant ne se rappelle pas de toutes, la soumise est " trompée " et, dans les faits, perd le respect pour lui et son pouvoir. Il est plus judicieux de commencer avec quelques règles, et avec le temps, de les étendre au fur et mesure de l'évolution de la relation.

La surenchère de la punition est également néfaste. Si le Dominant est cruel ou vicieux, la soumise se contentera de faire ce qui est nécessaire pour s'éviter les punitions. Avec le temps, elle perdra le désir de plaire au Dominant. Celui-ci se rendra un jour compte que son emprise n'est qu'une façade et qu'il a perdu le contrôle sur la soumise.La punition est un outil pour corriger les manques de la soumise. ELLE NE DOIT JAMAIS INTERVENIR SOUS LE COUP DE LA COLERE. Ce point est fondamental.

En punissant sous le coup de la colère, des blessures peuvent apparaître, les limites ne plus exister, les mots-clés ignorés. Cette situation est très dangereuse. Le Dominant qui sévit sous le coup de la colère est dans une zone d'abus. En B&D, le Dominant se soucie des sensations de la soumise. Il est très difficile de prendre le recul nécessaire quand on est en colère. La souffrance n'est pas le but de la relation B&D.

Elle peut simplement être un outil supplémentaire de la disposition du Dominant pour garantir le respect des règles.Les punitions n'impliquent pas forcément la souffrance. Restriction de mouvement, humiliation, mots crus, ou un simple regard peuvent punir une soumise. Des privilèges peuvent être révoqués, comme par exemple s'asseoir sur les chaises ou être contrainte par le Dominant à dormir par terre ou au pied du lit. Il existe plein de manières de punir une soumise. Gardez les manières sévères pour les infractions majeures. Si vous battez un chien tous les jours, vous n'obtiendrez rien d'autre qu'un chien coléreux et incontrôlable. Il en est de même pour une soumise et une soumise colérique est bien plus imprévisible qu'un chien. La punition doit toujours être suivie d'une récompense lorsque la soumise a rectifié la situation. La soumise doit être autorisée à corriger sa faute, qui doit ensuite être oubliée.

Les récompenses montrent à la soumise que le Dominant est content. Elles sont des éléments tangibles montrant l'amour et l'attention du Dominant pour sa soumise à l'occasion d'actions positives. C'est là qu'apparaît le vrai pouvoir du Dominant. La récompense peut prendre des formes diverses : un baiser, une caresse, des fleurs, une petite lettre, ou une longue soirée tendre à faire l'amour. Les récompenses montrent à la soumise que son Dominant pense à elle et s'intéresse à son bien-être. Elles confirment son propre comportement et le renforce. C'est ainsi que le Dominant crée la volonté de lui plaire.

 

                   TECHNIQUES DE DRESSAGE

Le respect de la soumise est très important lors de cette phase. En qualité de Dominant, vous êtes tenu d'extraire le meilleur de votre soumise, pas de casser son esprit ou de la transformer en robot.

Même dans le dressage, certaines règles sont à respecter.* Ne frappez jamais le visage de la soumise. Une caresse un peu appuyée du revers de la main est généralement suffisante pour faire le travail. Vous pouvez aussi mettre vos mains sur le visage de la soumise pour lui montrer votre domination.

* Ne jamais blesser la peau volontairement. En cas de blessure, suspendez immédiatement l'action. Désinfectez la plaie et soyez attentionnés avec votre soumise.

* Ne laissez jamais une soumise ligotée sans surveillance. Des accidents peuvent se produire et la soumise ne pourrait pas se défendre.

* Ne pratiquez jamais le dressage sous l'emprise de la colère.

* Ne pratiquez jamais le dressage sous l'emprise de drogues ou d'alcool. Ceci est vrai pour le Dominant et pour la soumise.

* Expliquez toujours pourquoi la sanction est donnée. Toute sanction doit avoir une origine. La sanction arbitraire, sans but, entrave à terme la rupture de la confiance de la soumise en son Dominant.

* La punition doit être en rapport avec la faute.

* La discipline doit toujours être suivie de tendresse. L'infraction est sanctionnée, et appartient ensuite au passé. En tant que Dominant, ne gardez pas de rancune envers votre soumise. Laissez votre soumise être amnistiée par vous.

 

            CONCLUSION

Il existe une grande variété de techniques que peut utiliser un Dominant. Ces techniques varient d'un couple à un autre. Vous devez apprendre à connaître votre soumise et découvrir par vous-même les techniques qui donnent les meilleurs résultats.

Les récompenses sont tout aussi importantes. Les actions correctes doivent être récompensées par le Dominant, faute de quoi, la soumise perd toute raison d'obéir aux ordres du Dominant. Je donne à mon esclave une simple fleur, un petit mot tendre, ou une simple caresse d'amoureux. La récompense est en fonction de l'action ayant fait plaisir au Dominant. Dans certains cas, une fessée peut être considérée par certaines soumises comme une récompense. C'est pourquoi, le Dominant doit connaître la soumise à la perfection. Chaque soumise (tout comme chaque Dominant) est différente. Il est très difficile de donner une méthodologie pas-à-pas pour punir ou récompenser une soumise. Certaines soumises sont en totale soumission. D'autres, ont une volonté très forte. Dans tous les cas, la punition est pour la correction, la récompense est pour la gratification. Si plus de correction est nécessaire, n'hésitez pas à procéder à l'escalade dans la punition. Appliquez le volume de punition qu'impose la faute.

Ne menacez pas de punir, faites-le! Le respect de la soumise pour son Dominant n'en sera que plus grand. N'oubliez pas que la force de la soumise réside dans son amour pour son Maître(sse).

WATER BONDAGE

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Le water-bondage est une pratique qui additionne le bondage (qui contraint un des partenaires par des liens) et l'eau. Il peut être pratiqué par aspersion ou par immersion. Pour l'immersion, cela peut se faire dans tout type de bassin (baignoire, piscine...) ou bien dans des cours d'eau ou lac ou en mer. La pratique du water-bondage nécessite des précautions car elle présente des dangers.

En effet au dela des risques évidents d'asphyxie et de noyade, lorsque que le water-bondage est prévu par association de jeux de cordes de chanvres et d'eau  (Nota : ne devrait on pas dire water-shibari), il entraîne un gonflement important des cordes qui nouent la personnes bondagée. Ceci implique une maîtrise irréprochable de la gestion des noeuds et des tensions des liens sur le corps et dans des zones hors des points de compression connus.

Tout comme "Tout corps plongé dans un liquide reçoit une poussée de bas en haut .....", l'Achimède bondageur doit savoir et aurait pu dire que "Toutes cordes de chanvres plongées dans l'eau exécutent un gonflement pouvant atteindre 3 fois son volume initial"... Il va donc sans dire que le mot danger prend ici tout son sens. De part, ce gonflement, il faut impérativement prévoir une marge de tension sur le corps lors de la réalisation du bondage avant immersion et/ou aspersion. Il faut attaché large et veiller a laisser une largeur 3 doigts minimum de mou dans les axes de cordes et les noeuds.

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Le resserrement au contact de l'eau est impressionnant et peu entraîner, si l'on pas anticipé une largeur de libre mouvement initiale importante, une tension tres importante surtout au niveau des membres (poignets et chevilles). La coupure de circulation sanguine est donc rapide et quasi totale en cas de mauvais dosage... De plus les noeuds devenant eux aussi très serrés, il est parfois quasi impossible de les dénouer dans l'urgence. Enfin, comme dans toutes situation d'urgence, les bons reflexes ne sont pas toujours évident a mettre en oeuvre dans la "panique ou l'afflolement" du moment. Prudence et anticipation reste donc les maîtres mots de cette pratique.

Comme dans tous bondages, le ciseaux ou l'outil de découpe adéquat doit être a porter de main et une approche expérimentale avec la personne qui sera soumise a ce jeu semble un bon compromis (essai sur une partie de corps , tension a mesurer et valider, gonflement des cordes a maîtriser,...). Une solution primaire évidente pour jouer et nouer dans l'eau est de laisser préalablement les cordes trempées dans l'eau et de nouer avec des cordes déjà mouillées. L'approche bondage sec (qui sera immergé ensuite) pouvant être l'etape suivante. Inutile de rappeler que la confiance est le lien qui unit les deux acteurs de nos jeux et que la sécurité est le fil conducteur de nos pratique. Cela est d'autant plus vrai, lorsque le water-bondage est le support d'autres jeux de type immersion et/ou privation d'air ...

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FESTIH STORY -72-

VIRTUALITY -34-

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